Une des photographies les plus intéressantes que nous pouvons faire les photographes est celle qui sort dirigé vers l'Étoile Nord. En laissant l'objectif ouvert pendant plusieurs heures, on obtient une photographie aux lignes courbes, car toutes les étoiles du firmament se déplaceraient autour de l'étoile polaire. Nous pourrions dire que le mouvement apparent du firmament reste fossilisé, mais cette photographie spectaculaire nous montre les limites pour photographier les astres du ciel. La détection d'objets de faible lumière nécessite de longs temps d'exposition et, en tournant la Terre sur son axe, à mesure que le temps avance, le mouvement apparent des étoiles se fixe comme une ligne courbe en négatif.
Par conséquent, nous avons besoin d'un outil pour suivre le mouvement des étoiles pour « freiner » leur mouvement. Par conséquent, pour photographier le firmament, on utilise souvent un montage équatorial lourd, inconfortable, coûteux et difficile à installer.
Cependant, nous pouvons faire un instrument simple et bon marché pour freiner ce mouvement, au moins pendant quelques minutes, en obtenant des photographies de la Voie lactée, des nébuleuses, des galaxies et quelques objets de faible lumière.
Cet appareil, appelé “feuille” équatoriale, est formé essentiellement de trois planches articulées en bois. La table sur laquelle la caméra est fixée doit être déplacée avec la même vitesse angulaire apparente des étoiles (tours par jour). Ce mouvement lent est obtenu par le déplacement d'une vis qui se déplace à une vitesse de rotation/minute. Deux autres lames formeront l'angle de latitude de la zone et l'ensemble devra être dirigé vers l'Étoile Nord pour obtenir un suivi précis (voir figure 1).
Une fois que vous aurez acheté les outils et les matériaux indiqués dans le tableau, vous préparerez votre ‘plaque’ équatoriale en suivant les étapes ci-dessous.
Sur le panneau c, nous signalons au crayon les pieds et les trous des guides. Aussi les trous de la bande de piano sur toutes les planches. Puis fixer les guides (voir figure 1). Avant de mettre les parties, il convient de marquer les trous avec la perceuse. ATTENTION! Respectez le sens de la construction, car dans le reste des cas, vous devez vous rendre dans l'hémisphère sud pour faire bon usage de l'appareil!
Sur les deux petites faces de la planche b, à 7,5 cm de l'arête, un trou de 3,5 mm de diamètre et 20 mm de profondeur sera réalisé au moyen de la perceuse, en introduisant une vis (d) de 4 mm sans tête, laissant 10-15 mm à l'extérieur. Pour être plus fort, on place un peu de colle dans le trou (voir figure 2).
La vis utilisée pour pousser la planche à, si elle est de taille de fil 80 (f), sera placée à 183 mm de la bande. La planche est percée et un écrou (g) est placé de chaque côté une fois la vis insérée. Les écrous sont collés avec de la colle (voir figure 3).
La taille du fil de cette vis est liée à son emplacement. Avec la vitesse angulaire (en tours par minute) que l'on donne à la vis, avec son passage et son emplacement, on obtient la vitesse angulaire de la planche en retour/jour.
Si vous utilisez une vis autre mesure de filetage, la distance à laquelle il doit être situé sera calculée. Pour ce faire, utilisez la formule suivante:
R = 229,3 x pas de vis en mm
Ce ‘R’ indique la distance à laquelle doit se situer la vis e de la bande. Compte tenu de cette distance, vous devez ajuster la taille des tables.
La formule ci-dessus est obtenue à partir de:
‘R’ = v/w
où
Les planches c et b seront rejointes par un piano/bande de 22 cm. Dans chaque vis (d) il faut placer une rondelle et en place les guides et les écrous de papillon (voir figure 4).
Étant donné qu'il existe différents types d'enseignes avec des tripodes photographiques, il faut chercher la meilleure méthode de fixation (normalement on recherche les vis, écrous et écrous à papillon correspondants) (voir Photo 1). Cependant, avant d'amarrer les planches a et b, dans la planche a, sur un centimètre et demi environ du bord supérieur, il est nécessaire de réaliser un trou pour introduire la vis correspondante à l'enseigne.
Comme mentionné précédemment, au lieu d'acheter la rotule du trépied, nous pourrions le faire. Pour cela, il faut prendre en compte la figure 5 et la photographie de la page 65.
Enfin, amarrer les tables a et b avec ceux que nous allons. ATTENTION! Le sens constructif sera respecté (voir figure 6).
Une fois terminée, la «plaque» équatoriale que vous avez créée est similaire à celle que vous voyez sur la photo de la page 64.
Pour le prendre, retirez la vis f et une fois plié, prenez la taille d'un livre.
Vous savez comment créer le gadget, lecteur. Maintenant, avant de commencer à l'utiliser, nous vous indiquons les points à garder à l'esprit. Tout d'abord, vous devez connaître la latitude de l'endroit que vous allez utiliser. Par conséquent, une fois représenté l'angle de latitude correspondant dans un carton solide, vous le découperez. Une fois entré ce carton entre les planches c et b, par les écrous de papillon des guides on fixe sa latitude.
Pour prendre des photos, au contraire, sur un mur, ou mieux si c'est sur le trépied, vous pouvez placer le « fer » (si vous allez utiliser le trépied, au centre de la planche c vous devez faire un trou pour pouvoir fixer le « fer » à l'aide de la vis du trépied) et diriger l'axe de la bande entre à (voir figure 1) vers l'Étoile Nord.
Avant de placer la “plaque” équatoriale et de prendre la photo, vous devez prendre en compte:
Enfin, avec cet appareil, vous pouvez sortir des nébuleuses, des galaxies, de vastes zones de la Voie lactée, des amas ouverts, des planètes… Ainsi, vous pouvez plonger dans un espace profond et avec l'aide d'un logiciel, vous pouvez trouver ce que vous ne pouvez pas voir à l'œil nu.
Le montage du lecteur et la possibilité de réaliser vos propres photos sont déjà entre vos mains. Nous vous avons fourni les informations nécessaires pour cela.
Alors courage et de voir quel genre de photos que vous obtenez.
Outils et outils
Matériaux et matériaux