On attribue souvent aux piscifères un caractère préjudiciable à l'environnement. Aujourd'hui, des chercheurs canadiens ont proposé un moyen de réduire les dommages et d'obtenir plus de bénéfices.
En fait, plus ou moins, des exploitations piscicoles sont versées la nourriture restante et excréments dans les rivières. Cependant, ces déchets peuvent être utilisés pour l'élevage d'autres espèces.
Les chercheurs ont effectué le test dans une pépinière de saumon. Pour l'utilisation des déchets organiques, les moules et les algues ont augmenté pour l'utilisation des inorganiques. Ainsi, d'une part, ils ont réussi à réduire l'arrivée de polluants dans la rivière et, d'autre part, ont diversifié leur production. C'est-à-dire, en plus d'être une forme de biorémédiation, la polyculture permet à d'autres espèces de croître et de gagner plus.
Cependant, cette idée n'est pas nouvelle, il y a plus de mille ans en Chine plusieurs espèces étaient cultivées dans un même lieu, afin de tirer le meilleur parti des ressources.