Vérifier les attentes
Une des grandes controverses autour des aliments OGM sont les risques de la propagation dans la nature des gènes manipulés.
Le maïs transgénique du groupe Novartis, par exemple, produit une toxine antiarabe, mais avec le gène producteur de toxine, il contient également un gène anti-ampiziline, l'antibiotique de la famille de la pénicilline. Ce gène est un gène inactif dans le maïs, mais si les bactéries l'assimilent et l'activent, il peut facilement s'étendre aux animaux et aux humains, provoquant une résistance aux maladies.
Le chercheur britannique John Heritage a étudié comment ce gène est transmis de la plante à la bactérie et de la bactérie aux poulets et a vu que le gène « nocif » n'a pas été activé ni dans les bactéries ni dans les poulets. Les résultats sont provisoires et d'autres espèces animales analysées
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