La consommation excessive et la richesse fondée sur le capitalisme sont les principaux facteurs qui déclenchent les problèmes environnementaux, selon un article de révision publié par un groupe de chercheurs dans la revue Nature Communications.
Selon ces scientifiques, le climat, la biodiversité et l'alimentation ont été quelques-uns des facteurs qui jusqu'ici ont été pris en compte dans les études sur les problèmes environnementaux, mais on a rarement analysé concrètement l'influence des économies visant à la croissance économique et à la recherche de richesse.
Ils ont donc revendiqué la nécessité de remettre en question le paradigme de la croissance économique. Ils disent que pour faire face aux problèmes environnementaux "on ne peut pas compter sur la simple technologie" parce que les améliorations technologiques ne sont pas capables de maintenir le rythme de consommation.
Ils croient qu'il faut changer les modes de vie basés sur la consommation excessive et la richesse. Ils avertissent que le problème va au-delà de l'action individuelle, donc ils considèrent qu'il faut faire des "changements structurels plus profonds" dans le système productif.
Les propositions de différents mouvements, fondées sur la réforme du capitalisme, l'éco-socialisme et l'éco-anarchisme, ont été analysées comme alternative. À partir de ces idéologies, entre autres, ils proposent la réforme fiscale, les revenus de base et les salaires maximums, la suppression des "réformes libérales", la création d'"assemblées citoyennes" ou l'interdiction de certains produits. Dans cette direction, des groupes comme l'Extinction Rebellion ou la Coopérative Intégrale Catalane ont été nommés.