La pensée traditionnelle des gens voit le baserritarra comme une personne dédiée à l'élevage et à la coupe d'herbe, mais avec le temps l'activité habituelle a créé de nouveaux services (TVA) et l'entrée dans la vie des baserritarras a rendu obligatoire la gestion.
De même, les nouvelles situations dans l'agriculture exigent de plus en plus d'efforts. Par exemple, l'amélioration génétique du bétail nécessite des investissements énormes, et à son tour l'alimentation et la gouvernance couvrent une grande partie du budget de la ferme, le tout contrôlé par ordinateur.
L'aide des ordinateurs peut être indispensable à la production. Par exemple, aujourd'hui, pour obtenir un litre de lait, les Baserritarras utilisent 450 grammes concentrés, ce qui représente 50% du total. Cette contribution externe suppose l'introduction sur le marché libre d'achat et il est souhaitable de connaître le prix du soja à Chicago pour sa relation avec l'alimentation et le gouvernement de la ferme.
Toute cette information est indispensable pour les fermes avec avenir. L'informatique permet, par exemple, de connaître le prix des matières premières nécessaires pour réaliser l'aliment sur le marché international. Avec eux, il facilite la détermination de la composition à créer et du prix final.
Actuellement, ces tâches de gestion sont canalisées à travers divers services soutenus par le gouvernement de Gasteiz. Ces centres de gestion recueillent une série de données envoyées par les Baserritarras (dépenses en aliments, quantité de lait extraite, prix de vente, etc.) qui déterminent la rentabilité de la ferme.
Le thème abordé lors de la conférence était uniquement axé sur les principes de gestion. L'espace qui se trouve devant les deux est vaste et plein d'obstacles.
D'une part, chez les Baserritarras, il n'y a pas de sensibilité aux ordinateurs. Pour le corriger, les microordinateurs sont introduits comme jouets (échecs, martiens, etc.) pour habituer les gens. La deuxième étape montrerait les possibilités de l'ordinateur appliquées à son mode de vie.