L'impression 3D avec des métaux constituerait une véritable révolution industrielle, car les possibilités de conception métallique augmenteraient considérablement. Dans la pratique, cependant, il y a très peu d'alliages métalliques qui peuvent être utilisés, car les dynamiques de fusion et de solidification de l'impression 3D matériau se fissure. Les scientifiques viennent de résoudre le problème en introduisant des nanoparticules qui contrôlent la solidification dans le processus d'ajout de métal par couches.
Des nanoparticules de zirconium stabilisées par l'hydrogène ont été utilisées, dans ce cas pour recouvrir des alliages d'aluminium à haute résistance. La nouvelle méthodologie, présentée dans la revue Nature, a montré que les pièces imprimées à l'aide de nanoparticules ne sont pas fissurées et ont une solidité équivalente aux matériaux de forgeage. Bien que cette méthodologie ait été développée avec des alliages en aluminium 7075 et 6061, il a été souligné qu'elle peut être appliquée à d'autres alliages.