Les échantillons clandestins de la Lune confirment l'activité volcanique

Etxebeste Aduriz, Egoitz

Elhuyar Zientzia

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Chang’e 6 dans le bassin d’Aitken, 7 juin 2024. Image prise par la sonde LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter) de la NASA. Ed. NASA/Goddard/Arizona State University

Ils ont analysé les échantillons de la mission chinoise Chang’e-6 depuis la partie cachée de la lune et ont conclu que dans cette partie de la lune l’activité volcanique était pendant des milliards d’années.

La mission Chang’e-6 a apporté sur Terre deux kilos d’échantillons prélevés dans le bassin d’Aitken, au pôle sud de la Lune, dans une capsule en juin dernier. Le bassin d'Aitken est l'un des cratères les plus anciens et les plus grands de la Lune, né il y a près de quatre milliards d'années, victime d'un météorite. Comme on pouvait s'y attendre, les chercheurs ont pu constater que la poudre fine qu'elle contient est composée de particules provenant de différentes époques géologiques. En fait, en raison des micrométéorites constants et des particules solaires à haute énergie, les roches de la Lune deviennent de la poussière.

L'étude des isotopes de cette poudre a permis de conclure que certaines particules proviennent de la lave qui a émergé il y a environ 2.83 millions d'années. Et de la même manière, on a trouvé des restes d'une lave d'il y a environ 4.2 milliards d'années.

D'autres études basées sur la chronologie des cratères ont également suggéré le vulcanisme dans cette partie de la Lune. À cette occasion, les échantillons prélevés par l’organisation ont pu être confirmés directement. La publication dans la revue Nature et Science a donné des résultats dans deux articles.

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