Ils avancent que l’avenir de la régénération tissulaire peut être bionprimer «sur le lit lui-même»

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Ils ont identifié les défis futurs de la médecine régénérative. - Ed. UCSD-JacobsSchool/CC BY

Le chercheur du groupe NanoBioCel, Gorka Orive Arroyo, et plusieurs chercheurs de l'Université de Harvard et de l'Université technique du Danemark, ont conjointement analysé le potentiel, les limites et les défis de la bioimpression 3D dans le domaine de la régénération textile, et ont proposé des idées pour obtenir de meilleurs résultats dans le magazine Science.

Les chercheurs ont conclu que l’un des défis les plus importants à relever est lié à la densité cellulaire. En effet, lorsque les structures cellulaires sont fabriquées par impression additive, la densité cellulaire du matériau imprimé reste très faible.

Un autre aspect fondamental est lié aux caractéristiques du tissu à régénérer. Par exemple, le tissu musculaire et le tissu hépatique n’ont pas les mêmes fonctionnalités, ni la même forme cellulaire et textile. Par conséquent, le processus de bioimpression n'est ni le même ni l'équivalent. Il serait donc important de pouvoir adapter les technologies d'impression en trois dimensions à chaque type de tissu.

En outre, les chercheurs ont indiqué que la bioimpression devrait être plus proche de la clinique, où des détonations se sont produites. Ainsi, les tissus endommagés par le patient peuvent être régénérés directement, sur place ou « sur le lit ».

De l'avis d'Orive, malgré le défi qu'il suppose, l'article contribuera à faire connaître la vision d'autres experts et à développer des projets de recherche à base solide dans des équipes multidisciplinaires.

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