Veto de l'Antarctique

Le gouvernement australien refuse d'approuver la Convention de réglementation des mines de l'Antarctique. La présente convention autoriserait et contrôlerait l'activité minière actuellement interdite.

L'Australie est l'un des sept États réclamés par l'Antarctique et a droit à veto. Parmi eux figurent la France, l'Argentine, le Chili, la Norvège, la Grande-Bretagne et la Nouvelle-Zélande. Il semble que la France va lui aussi mettre le veto.

La réalisation de cet accord n'a pas été facile et au cours de six ans, il y a eu de fortes négociations entre les 30 États signataires du traité de l'Antarctique. Les Australiens veulent qu'il n'y ait pas d'exploitation minière en Antarctique. Les Australiens prétendent parvenir à un large accord international pour la conservation de l'Antarctique. Les Australiens proposeront la déclaration de l'Antarctique comme parc naturel mondial.

Cependant, de nombreux écologistes sont préoccupés par la décision des Australiens. En outre, si la Convention autorise l'exploitation minière, elle contrôle dans une certaine mesure (en établissant des mécanismes pour cela) et craint que l'absence de Convention suppose une exploitation minière incontrôlée.

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