Une étude menée au Centre de Recherche Médicale Appliquée (CIMA) et à la Clinique Universitaire de Navarre a montré que les cellules souches provenant de la moelle osseuse et du tissu adipeux améliorent la fonction du cœur infarctus dans les modèles animaux. Les cellules prélevées de la moelle osseuse agissent sur le tissu endommagé et les cellules graisseuses sont capables de se transformer en vaisseaux sanguins ou en cellules cardiaques.
Les chercheurs considèrent que la procédure utilisée a un grand potentiel d'utilisation clinique. Quand une personne souffre d'un infarctus, l'artère qui irrigue le cœur est obstruée. La zone touchée meurt et la cicatrice restante ne se contracte pas. C'est un problème très grave, car il a une influence notable sur la capacité d'action du cœur.