Des chercheurs de l'Institut Weizmann d'Israël ont expliqué dans la revue Nature genetics la théorie qui relie l'odorat à l'évolution de l'homme. Il semble que dans le chromosome 17 les humains ont un groupe de mille gènes codant les récepteurs olfactifs du nez et, bien qu'aujourd'hui la moitié ne soient pas actifs, il affirme que le simple fait a quelque fonction dans nos ancêtres. Les chimpanzés n'ont pas de gènes équivalents. Selon les chercheurs israéliens, l'odorat développé a donné aux humains un avantage évolutif sur les chimpanzés, comme la plus grande capacité d'identifier les aliments toxiques.