Nous avons souvent des nouvelles que nous détruisons la nature. Nous savons aussi qu'il a récupéré de temps en temps. Ce dernier est le cas du lac Meretta dans l'Arctique canadien. En 1949, les sièges du Département des Transports du Canada et d'autres institutions commencèrent à verser des déchets au lac. Depuis les années 70, cependant, le nombre de personnes qui y vivaient et y travaillaient a diminué et ne sont aujourd'hui que 65. De plus, les déchets ne sont pas directement versés. Et le lac l'a aussi remarqué.
À la fin des rejets, l'échantillon a été prélevé. Les échantillons analysent les diatomées. Les diatomées sont des algues unicellulaires et vertes microscopiques qui ont été utilisées comme indicateurs de qualité de l'eau. Des études montrent que la qualité de l'eau s'est considérablement améliorée. Ainsi, les chercheurs de l'Université de Toronto ont confirmé la capacité de récupération de la nature et ont vérifié que les diatomées sont un bon indicateur biologique. Le nombre et le type de diatomées dans les sédiments serviront également à connaître l'histoire du lac.