Selon les chercheurs de l'Université Keele de Grande-Bretagne, le cancer de l'ovaire pourrait être dans les gènes. Les spécialistes impliqués dans cette étude considèrent que 10% des cas où le cancer des ovaires apparaît peut être traité à l'avance si cette hypothèse est confirmée. L'Université Keele collabore avec d'autres centres de recherche en Grande-Bretagne et bien qu'ils n'aient pas encore obtenu de données fiables, la structure chromosomique des femmes est étudiée. Une fois les groupes à risque définis, des études supplémentaires seront nécessaires pour mieux comprendre l'origine de la maladie et la situation psychologique des femmes atteintes de cancer de l'ovaire.