Chimiste et physicien français né en 1778 à Saint-Leonard-de-Noblat. Jeune homme, il a pu profiter de l'environnement que la Révolution française a créé pour la recherche. La France n'était pas une exception.
Les scientifiques revendiquaient au nom de tout le peuple leurs découvertes et leur faisaient de grandes honneurs. Ainsi, parmi les scientifiques il y avait un environnement excellent pour la recherche et Gay-Lussac n'a pas laissé l'option sortir. Il s'occupa de presque tous les domaines de la chimie, mais réalisa les travaux les plus importants avec du gaz.
En 1802, il a dit que le volume d'un gaz à pression constante est proportionnelle à sa température absolue. En d'autres termes, il a affirmé que comme la température augmente tous les gaz se développent dans la même proportion. Gay-Lussac s'est appuyé sur cette découverte pour affirmer que tous les gaz Avogadro ont le même nombre de particules par unité de volume à une température donnée. Comme nous le savons, cette idée n'a été considérée par personne dans les prochaines décennies.
Depuis 1804, il a utilisé le globe statique pour ses expériences. Plus précisément, l'objectif de ces voyages était d'analyser les changements que produit l'altitude dans la gravité et la composition de l'air. Cette année-là, il a dépassé 7000 m de haut.
Dans les années 1807 et 1808, le chimiste anglais Davy réussit à isoler certains éléments en utilisant l'électricité. Napoléon a offert à Gay-Lussac et Thenard des ressources pour construire une batterie géante, mais les Français sont parvenus à des conclusions similaires en utilisant du potassium isolé par Davy lui-même. L'oxyde de bore a été manipulé avec du potassium et a réussi à isoler le bore dans sa forme de base. Sa découverte a été annoncée en Juin 1808, neuf jours avant Davy.
Sur la base des recherches de Courtois sur l'iode, je déduis qu'il s'agit d'un élément différencié. En 1811, il a découvert la composition de base du sucre. La même année, il a publié le livre Dernières recherches sur la physique et la chimie. En 1815, il isola les cyanogènes et publia de nouvelles données sur l'étude du chlore.
En 1831, il fut appelé par la cour du roi Louis-Philippe. Il a été nommé membre du Parlement français et, au cours des dernières années de sa vie, il a étudié les anciennes lois et de proposer de nouvelles.
Elle avait 72 ans quand le 9 mai 1850 la mort la découvre à Paris et la porte de ce monde.