La création d'une base de données sur les séquences géniques pour l'identification des espèces végétales a permis d'avancer dans le Consortium du Code à barres de la vie (CBOL). Chaque plante aura une séquence donnée, comme chaque aliment a un code-barres.
Les 52 experts qui forment l'équipe de plantes du consortium ont proposé la nécessité de comparer deux séquences, rcbL et matK, pour différencier les unes des autres.
Pour les animaux, la région de l'ADN à regarder est déjà établie, mais les plantes n'ont pas encore été sélectionnées. C'est parce qu'il doit être assez variable pour pouvoir se différencier d'une espèce à l'autre en ce qui concerne sa séquence, alors qu'il ne peut pas être trop variable, car à partir de là il faut savoir que les individus d'une espèce donnée appartiennent à la même espèce.
Le Comité des plantes a publié le rapport élaboré dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, à partir de laquelle il fera sa proposition au consortium CBOL. Le dernier mot l'a CBOL et ils décideront quel ordre prendre comme code-barres standard des usines.