Galileo, Ariane 5/i et la Station spatiale internationale

Les pays de l'Union européenne se sont engagés à sortir de la crise l'industrie des lanceurs lors d'une réunion tenue à Paris début juin. Ils ont soutenu la proposition de réutiliser le lanceur «générique» Ariane 5, mais ils vont également promouvoir de nouvelles versions du lanceur.

Preuve en est le programme pour augmenter l'utilisation des services d'Arianespace entre 2005-2009. En outre, des mesures ont été convenues pour la restructuration et la consolidation de l'industrie des lanceurs.

ESA

D'autre part, l'Agence spatiale européenne a débloqué une partie de l'argent nécessaire à l'exploitation de la Station spatiale internationale (NEE). Cet argent a été bloqué jusqu'à ce que les engagements pris par les États-Unis soient vérifiés et il était essentiel pour l'EEE pour le navire qui veut construire pour utiliser la station et transporter le matériel.

Enfin, ils ont conclu un accord pour lancer le projet Galileo. Galileo est un système de navigation similaire au GPS, mais civil et européen. Trente satellites feront partie du projet promu par l'Agence spatiale européenne et l'Union européenne et sera disponible en 2008. Le projet a été considéré dès le début comme fondamental par les deux promoteurs, mais dans l'Union européenne, la participation de chacun des États a été discutée jusqu'à présent. S'agissant d'un service rémunéré, les experts ont annoncé l'ouverture d'un marché annuel de 10 milliards d'euros.

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