Dans la ville poussent plus d'arbres que sur la montagne

À cette conclusion, ils sont arrivés après une expérience américaine. L'objectif de cette expérience a été de connaître la relation entre la pollution des villes et la croissance des arbres, et pour cela ont changé le Populus deltoides, très commun aux USA, au cœur de New York et dans les environs.

Étonnamment, les peupliers plantés dans la ville ont augmenté plus que ceux de campagne. Selon les chercheurs, leur «faute» ne réside pas dans la composition de la terre, ni dans la température, ni dans la concentration de dioxyde de carbone, mais dans l’ozone.

La couche d'ozone du haut de l'atmosphère protège la surface terrestre des rayons ultraviolets solaires, mais lorsqu'elle est proche de la surface, elle devient polluante. C'est parce que la lumière du soleil se produit en réagissant avec les gaz émis par les voitures et, entre autres, empêche la croissance des plantes.

Mais l'ozone est très réactif et réagit en ville avec d'autres polluants, donc au cœur des villes il n'y a guère d'ozone. Au contraire, dans les zones rurales environnantes, l'ozone pollue l'air et empêche la croissance des arbres.

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