Dans le village indien Bopal, il y a douze ans, une usine de chimie a provoqué une grave démashie. 40 tonnes de gaz méthylisocianate ont été émises et deux mille personnes ont été tuées dans les prochains jours. Actuellement, 50.000 habitants qui ont survécu ont des problèmes de santé à cause du gaz. Et un groupe de chercheurs reconnaît que les soins médicaux reçus par la population locale au cours de ces années n'ont pas été les plus appropriés.
Selon le récent travail publié par la Commission internationale de médecine, les drogues qui ont été données aux personnes touchées n'ont pas contribué du tout. La commission considère des pratiques médicales inacceptables. La situation la plus préoccupante est celle de ceux qui souffrent de maladies des voies respiratoires, particulièrement touchées par le poumon.
Cependant, la connaissance des effets du gaz et de ses effets potentiels n'est pas simple. La commission a commencé à parler d'effets neurologiques et d'autres maladies. Face à cette situation, une enquête approfondie sur l'état de santé des nouveau-nés est destinée.