2021/01/25
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Ils demandent que l'influence du sexe soit étudiée au COVID-19
Texte produit par le traducteur automatique Elia et n'a pas été révisé par des traducteurs.
Elia Elhuyar
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Les effets du SARS-CoV-2 sont différents chez les hommes et les femmes, par exemple, en cas d'infection, les hommes présentent un risque de mort 1,7 fois plus élevé que les femmes. Mais les femmes ne sont pas considérées dans la recherche sur les traitements et les vaccins, selon deux chercheurs de l'Université de Yale dans la revue Science. Selon eux, il est impossible de comprendre comment le sexe influence la réponse immunitaire pour mieux connaître et combattre le covid-19 et d'autres maladies infectieuses.
Il explique que les hommes ont une réponse immunitaire plus faible et sont plus vulnérables que les femmes. Cependant, ces réponses sont plus sévères et parfois cette réponse peut devenir excessive, avec le risque accru d'immunopatologie.
Derrière cette distinction se trouvent le sexe chromosomique et les hormones. La présence de deux chromosomes X permet d'activer plus de gènes immunitaires et les oestrogènes exercent un effet protecteur sur les infections.
La COVID-19 ne fait pas exception, mais, en général, les données ne sont pas analysées séparément et ces différences ne sont pas envisagées dans les études. On ne sait pas, par exemple, si un médicament est plus approprié pour un sexe ou un autre, ou si les doses doivent être ajustées.
Dans le cas des vaccins, quand les vaccinations ont commencé, ils ne savaient pas s'ils étaient sûrs pour les femmes enceintes et celles qui allaitaient, car ils ne l'avaient pas pris en compte avant. Il en va de même pour les transsexuels.
Enfin, les chercheurs ont averti qu'il faudrait aussi tenir compte des différences sociales et comportementales dans le domaine des femmes et des hommes, qui influencent également le risque d'infection et l'évolution de la maladie.