Par des manipulations génétiques, Bernard Lakowski et Siegfried Hekimen, de l'Université de Montréal, ont obtenu que la vie des nématodes Caenorhabditis elegans soit trois fois plus grande.
La “machine” biologique de ces vers génétiquement manipulés fonctionne plus lentement et les métabolites s’accumulent plus lentement. À long terme, ces métabolites ou radicaux libres détruisent les cellules. Par conséquent, les cellules restent plus longtemps sans les endommager.
Les gènes impliqués ont été appelés «clock» et peuvent aider à mieux comprendre la génétique du vieillissement. Les scientifiques supposent que les gènes « clock » sont des éléments du mécanisme de la « montre psychologique générale ».