Ils demandent que le racisme, la xénophobie et l'exclusion fassent l'objet d'un risque sanitaire

Galarraga Aiestaran, Ana

Elhuyar Zientzia

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Ed. Union européenne

Le racisme, la xénophobie et l'exclusion ont été dénoncés dans un certain nombre d'articles de la revue The Lancet qui nuisent à la santé de groupes auparavant sous-estimés. Selon les auteurs, l'impact de ces facteurs sur la santé a été ignoré, mais les conséquences sont très évidentes et, bien qu'il y ait des différences spatiales, il y a des situations d'ethnie, de sexe, d'âge, de classe, de migration, de religion ou de marginalisation selon la couleur de la peau. Ils se chevauchent souvent.

Pour mieux comprendre l'effet du racisme et de la xénophobie sur la santé, entre autres, ils ont analysé comment ils se produisent et ont conclu qu'il y a deux concepts: la séparation et la hiérarchie. La distinction est que l'on est différent des autres. Et la hiérarchie, la supériorité de l'un sur l'autre. Eh bien, dans cette hiérarchie, ils ont vu que la santé physique et mentale de celui qui est sous est pire que celle de celui qui est au-dessus.

COVID-19 a donné des exemples clairs. Par exemple, au Royaume-Uni, le taux de Diez Has a été très différent selon l'origine ethnique: Les Bangladais d'origine étaient 4 à 5 fois plus exposés au COVID-19 que les Britanniques et les Blancs.

Les chercheurs avertissent que la croyance selon laquelle ces différences de santé ont une base génétique à partir de laquelle des études, des politiques et des pratiques sont réalisées demeure enracinée. Cette croyance, souvent erronée, est que l'espèce humaine est l'une des moins différées génétiquement.

D’autre part, les soins de santé individuels impliquent l’oubli de facteurs qui influent sur les groupes, tels que la disponibilité d’environnements verts, la qualité de l’air et l’exposition aux polluants, la disponibilité de nourriture fraîche… Et les systèmes de santé eux-mêmes ont des facteurs de discrimination structurelle et ont des interactions complexes entre eux. En plus des évidents (classe, ethnie, sexe…), ont identifié beaucoup d’autres qui passent inaperçus : le langage ou le langage, le niveau d’éducation, la capacité de communication, la capacité de faire face à la bureaucratie…

Avec le météorisme d’urgence, les différences augmentent et le modèle se répète, avec des conséquences plus graves pour les moins polluants et vice versa.

Les chercheurs ont proposé six clés pour affronter la situation: la décolonisation; la compréhension des croisements entre les différents axes de discrimination; l'accroissement de la diversité et l'inclusion. Une justice réparatrice et transformatrice, la lutte contre le racisme et une approche fondée sur les droits de l'homme.

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