Ces dernières années, un nouveau concept d'automatisation productive de haut niveau connu sous le nom d'IMS (Intelligent Manufacturing Systems) est apparu. Ce nouveau concept de technologies de production concerne tous les domaines et domaines d'activité, du contrôle des fournisseurs au soutien du produit sur le marché.
Contrairement à l'approche CIM, dans les IMS les parties structurantes de chaque activité sont capables de créer une unité de haut niveau comme intelligente, comme propriétaire, intégrable et comme ensemble. L'IMS renforce le rôle de l'homme. Non comme un simple élément du système de production complexe, mais comme source de créativité.
L'idée de l'IMS est née au Japon en 1990, sous l'égide du MITI, ministre japonais de l'Industrie et du Commerce international, avec un budget d'un milliard de dollars pour 10 ans et avec la promulgation de plusieurs programmes internationaux de recherche. Après avoir contacté les Etats-Unis, CE, EFTA, l'Australie et d'autres institutions aux mêmes fins et compétences au Canada, les trois commissions chargées de l'IMS de coordination, technique et de protection des droits de propriété ont été constituées.
Une fois la structure mondiale achevée, il a été décidé de réaliser une série d'essais de projet d'un an comme première étape du programme, dans lequel au niveau planétaire on analysera la viabilité définitive de l'idée IMS.
Dans ce but, un appel de propositions a été lancé, le XIIIe Congrès européen de technologie de l'information et des télécommunications. Gérée par la Direction Générale. Une fois les demandes reçues et l’évaluation achevée, le programme IMS a décidé de réaliser 6 projets de différentes approches:
Alta, la proposition “Holonic Manufacturing Systems”, dirigée par Allen Bradley (USA) et Hitachi (Japon), compte parmi ses partenaires européens avec l’association basque de recherche Tekniker.
La vision «holonique» de l’usine du futur répond pleinement à l’idée d’IMS de doter l’entreprise d’une plus grande passion, en partant de l’intégration de ses moyens productifs en unités intelligentes, «holons», propriétaires, flexibles et collaborateurs.
Dans le cadre de ce projet mondial, Tekniker participera aux tâches relatives à la conception de systèmes de contrôle holonique, sélection de tests pour ces systèmes, proposition de normes de contrôle holonique et transfert technologique de résultats. L'engagement prévoit un engagement d'environ 2 ans dans un projet auquel participeront 32 entreprises et organisations du monde industrialisé, avec un budget total de 44 ans et un budget de plus de 700 millions de pesetas.
La structure du consortium est la suivante:
États-Unis d'Amérique Bradley/
Université de RockwellBoston Carnegie
Mcllon University
of UTCCCalgary/BerkelyUniversité de Conneticut
EUROPESofingAITECFhG-IPAIFW/Université
catholique
de Louvain
JAPONIAHitachiFanucHitachi University
of
SeikoCoke University
ToshibaYaskawa
Université KANADAQueens
Alberta Conseil de recherche
Basic Technologies Calgary
AUSTRALIABHPCSIRORMIT