Le sang utilisé pour les transfusions est à l'origine de nombreux casseroles de tête dans le monde entier. Bien que le cas de la contamination sanguine qu'ils ont détectée en France soit pour le moment le plus évident, on a déjà commencé à connaître des cas qui peuvent être aussi graves ou plus graves que celui-ci. L'un des plus graves peut être celui détecté au Pakistan, qui a dû suspendre presque toutes les infiltrations de sang dans ses hôpitaux.
Des chercheurs de l'Université Aga Khan ont récemment annoncé que les virus de l'hépatite C sont infectés par 6% des patients hospitalisés. Bien qu'ils n'aient pas pu savoir quelle est la cause de la pollution, ils considèrent que le coût économique de la réalisation de l'analyse sanguine peut être une des causes. Le manque de moyens pour effectuer des analyses détaillées du sang dans les hôpitaux pakistanais, ne fait que dans des cas exceptionnels les conditions de sécurité fondamentales établies par les Organisations internationales de santé pour toutes les infiltrations de sang sont remplies.