Vitamines oui, vitamines non

Les soupçons corrompus peuvent être trouvés partout, sans aucun doute, l'un des plus répandus est que les vitamines servent à compléter toutes les carences. En France, ils ont déjà pris conscience de ce risque et si l'on veut donner pour bon le rapport réalisé par certaines organisations sanitaires, l'accès à certaines vitamines sera vraiment difficile, car ils prétendent empêcher leur vente sur le marché.

Les effets des surdosages de vitamine C sont élevés. Un groupe de chercheurs français y étudient et demandent l'interdiction de la commercialisation de certains composés vitaminés.

On sait aussi que toutes les vitamines ne sont pas égales. Ils avertissent que les substances très riches en minéraux sont commercialisées en mesure d'être consommées à des doses élevées et sont très préjudiciables à la santé publique. Les composés vitaminés présentant une grande quantité de sélénium, de zinc et de fluor ont été considérés comme dangereux et figurent sur la liste des substances « interdites ».

Bien que le problème puisse être évité à des doses plus faibles, il faut noter que l'administration continue du médicament comporte également des risques graves. À cet égard, le rapport fait référence aux problèmes de santé engendrés par la surdose de vitamine C, mais aucun consensus scientifique n'a été atteint. Les partisans et les détracteurs des vitamines ont trouvé l'excuse parfaite pour se déplacer.

L'interdiction que l'on veut imposer en France peut étendre le débat sur les vitamines à toute l'Europe. Gaitzerdi, car nous consommons des vitamines sans discuter aujourd'hui ou voir des risques potentiels.

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