Un groupe de chercheurs de l'Institut Pasteur de Paris a affirmé que le développement de chancelier par virus dépend du contrôle des défenses corporelles.
L'évolution positive ou négative des tumeurs par papilomavirus dépend de certains composants du système de vaccination.
Dans les papilomavirus on connaît 66 types différents qui infectent les cellules de la peau et mucus buccal, mucus génitale et lumineuse.
Ces virus produisent des tumeurs bénignes chez les animaux et les humains. En général, ces tumeurs ne poussent pas trop et sont résolus avec un certain traitement. Mais parfois, ils peuvent devenir des chanceliers et finir comme un carcinome.
Les chercheurs analysent l'évolution de ces lésions causées par papilomavirus potentiellement cancérigènes. Dans ces lésions peut apparaître un cancer du virus et à ce moment-là notre système de vaccination est d'une importance vitale. Les oncologues savent qu'il y a plus de verrues et de carcinomes chez les personnes immunodéprimées avec transplantation rénale ou SIDA que chez d'autres.
De plus, lorsque ce type de verres disparaissent soudainement. Selon les scientifiques, dans les verrites qui sont guéris sont généralement des lymphocytes et des macrophages. Par conséquent, ces cellules auront quelque chose à dire dans ce remède.
Selon le Dr Orth, chef de recherche de l'Institut Pasteur, il existe un contrôle immunitaire sur l'évolution des lésions produites par les papilomabirus.
Donc, ce qui aujourd'hui n'est qu'un soupçon, on espère l'essayer bientôt.