Les habitants du Tibet, de l'Éthiopie et des Andes n'ont pas suivi le même chemin pour affronter le problème. Maintenant, les chercheurs veulent savoir si chaque solution a ses propres caractéristiques génétiques ou non.
La différence n'est pas grande, mais les chercheurs ont détecté que les stratégies respiratoires sont différentes. Par exemple, les personnes vivant dans les Andes ont augmenté la quantité d'hémoglobine dans le sang, c'est-à-dire ont une plus grande proportion de protéines qui transportent l'oxygène. Les Tibétains ont développé un mécanisme pour respirer plus rapidement.
Sûrement ces caractéristiques sont reflétées dans les gènes. Pour le moment, les biologistes ont extrait de l'analyse de l'ADN d'autres données, comme que tous les peuples qui vivent à quatre mille mètres ont une origine unique, mais sont un mélange de descendants de diverses migrations historiques.